« la langue s’attardait en récits diurnes
loin de ces cités aux formes de rêves
peuplées de bibliothèques premières
filles d’Alexandrie
où les manuscrits levaient en secret
l’origine de toute chose »
Opus niger rassemble des poèmes qui tracent un périple révélant une langue épurée pour être au plus près d’un « je-ne-sais-quoi » de troublant et d’obstiné.